ProgrammeTV Alzheimer, jusqu'au bout de la vie Note de Télé-Loisirs : En résumé 52min Culture Infos - Santé 2006, France Cent ans aprÚs la découverte de la
Alzheimer NEWS PubliĂ© le 23/02/2011 Ă 2313 Un bureau d'architectes anversois propose des solutions pour mieux vivre au quotidien avec la maladie d'Alzheimer. Une approche alternative et innovante. Le placement en institution source de frustration Le placement d'un patient Alzheimer est souvent source de frustration pour le malade et peut ĂȘtre vĂ©cu comme un Ă©chec par ses proches. La SA OSARarchitects d'Anvers propose des solutions architecturales innovantes pour l'hĂ©bergement des personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer. Pour que la situation soit moins pĂ©nible pour le patient, pour sa famille, mais aussi pour le personnel soignant. Stimuler les sens Le bureau d'architectes anversois propose des maisons de repos qui sont des lieux de vie avant tout. Tout est en effet mis en oeuvre pour rĂ©pondre un maximum aux besoins des personnes touchĂ©es par la maladie d'Alzheimer. Par exemple, pour contourner les problĂšmes de pertes de repĂšres, chaque piĂšce des espaces communs est associĂ©e Ă une activitĂ© bien prĂ©cise se dĂ©tendre, dĂ©couvrir, manger... Les architectes ont Ă©galement eu l'idĂ©e de stimuler les cinq sens des patients par les couleurs, les odeurs et de les associer Ă ces activitĂ©s. Cela permet de crĂ©er des liens logiques et donc de faciliter la vie des patients. Par exemple, une personne qui cherche sa chambre peut se dire "La cuisine, c'est la piĂšce qui sent bon la nourriture et oĂč on mange. Et ma chambre, c'est celle qui donne dans cette piĂšce". La façon d'amĂ©nager les chambres est Ă©galement Ă©tudiĂ©e avec soin. L'utilisation de lit en alcĂŽve peut Ă ce titre ĂȘtre rassurante pour les personnes touchĂ©es par la maladie d'Alzheimer. Un lieu de vie pensĂ© "Alzheimer" Les espaces communs sont Ă©galement des lieux d'Ă©changes oĂč les visiteurs sont en contact avec les autres patients, ce qui crĂ©e une dynamique. "AprĂšs le dĂ©cĂšs de leur proche, il est mĂȘme arrivĂ© que certaines personnes continuent de venir rendre visite Ă d'autres patients et qu'ils s'impliquent bĂ©nĂ©volement", ajoute Eve Van Dyck, architecte chez OSAR. Ces espaces de vie ont Ă©galement Ă©tĂ© Ă©tudiĂ©s pour le personnel soignant. Pour qu'il ait une meilleure mobilitĂ©, qu'il puisse garder un oeil en permanence sur les patients... En bref, une maison pensĂ©e pour la maladie d'Alzheimer. Des innovations pour une meilleure qualitĂ© de vie Ce genre de nouvelle approche peut parfois constituer une bouffĂ©e d'air dans la longue lutte contre la maladie d'Alzheimer. "Les patients Alzheimer restent trĂšs sensibles Ă ce qui les entoure", nous explique Marguerite Mormal, PrĂ©sidente d'Alzheimer Belgique. "Il faut donc essayer de maintenir la qualitĂ© de vie jusqu'au bout. Dans cette optique, il est important de trouver de nouvelles pistes." La recherche de nouveaux traitements ou de nouveaux moyens de prĂ©vention est importante, bien sĂ»r. Mais il ne faut pas oublier le poids qui pĂšse sur les Ă©paules des patients Alzheimer et de leurs proches au quotidien. Toutes les solutions pour mieux vivre la maladie d'Alzheimer sont donc les bienvenues. Merci Ă Marguerite Mormal, PrĂ©sidente d'Alzheimer Belgique pour sa collaboration ĂAccompagnerla personne atteinte de la maladie d'Alzheimer; Communication assertive; Ăducation thĂ©rapeutique du patient; Epilepsie : Comprendre et savoir agir; Formation de formateur; Gestion des conflits; Gestion du stress et prĂ©vention de l'Ă©puisement professionnel; Gestion du temps et des prioritĂ©s; Handicap et Cancer
Montessori â Institution 7 et 8 juillet Paris plus de renseignements et inscription, cliquez ici 8, 9 et 10 dĂ©cembre plus de renseignements et inscription, cliquez ici Montessori â Domicile 28 et 29 octobre Paris plus de renseignements et inscription, cliquez ici Montessori â Animation et vie sociale 26 et 27 octobre Paris Plus de renseignements et inscription cliquez ici RĂ©cupĂ©ration EspacĂ©e 7, 8 et 9 juillet Montpellier plus de renseignements et inscription, cliquez ici 8, 9 et 10 septembre Paris plus de renseignements et inscription, cliquez ici
Lesaccompagnants doivent donc non seulement assister aux tĂąches quotidiennes, mais en plus faire du gardiennage. Ajoutez Ă cela les troubles du comportement comme lâagitation, le refus,
Dans son nouveau livre la psychiatre du sujet ĂągĂ©, Dr VĂ©ronique Lefebvre des NoĂ«ttes invite Ă miser sur les histoires de vie, les sens et les perceptions que les proches aidants, les professionnels, peuvent activer via les approches non mĂ©dicamenteuses notamment lâart, la musique, la crĂ©ativitĂ©, les animaux, la nature⊠bref cultiver son jardin. Consciente que lâon ne peut aujourdâhui guĂ©rir cette maladie qui reste perçue comme une malĂ©diction, son guide aide Ă la comprendre, la prĂ©venir et lâaccompagner avec douceur, avec le sourire, jusquâau bout. Lâauteur a dĂ©cidĂ© de reverser 1 euro pour chaque exemplaire achetĂ© Ă France Alzheimer et maladies apparentĂ©es. RĂ©veiller les sens, les Ăąmes, pointer lâhumourLe philosophe Eric Fiat pointe dans sa prĂ©face le message poĂ©tique du livre les personnes malades sont vivantes, elles ne sont pas mortes. MĂȘme atteintes de dĂ©mence De-Mens sans esprit, elles sont lĂ , prĂ©sentes. Elles perçoivent, ressentent. Si les mĂ©moires sĂ©mantiques des mots, des noms sâeffacent, la mĂ©moire procĂ©durale reste vivace longtemps et la mĂ©moire Ă©motionnelle fonctionne jusquâau bout page 23. Ces personnes nous interpellent avec des phrases souvent poĂ©tiques qui font sourire ââJâai des bulles dans le cerveau alors champagne !â.A nous dâapprivoiser nos peurs sur cette maladie qui touche 20 % des nonagĂ©naires. A nous dâentendre les plaintes de pertes de mĂ©moire pour en parler au mĂ©decin traitant qui pourra rĂ©aliser quelques tests et si nĂ©cessaire orienter vers les spĂ©cialistes neurologues, centres mĂ©moire. Mais surtout Ă nous de souffler sur ces braises identitaires qui ne demandent quâĂ par notre prĂ©sence, nos regards, nos sourires, nos touchers, que nous les aidons et nous nous aidons nous-mĂȘme Ă vivre cette fichue les troubles du comportements pour les prĂ©venir et y rĂ©pondre de maniĂšre adaptĂ©eQuand surviennent ces troubles ? Avec qui ? A quelle frĂ©quence ? Pour qui est-ce un problĂšme ? Dr Lefebvre des NoĂ«tte invite Ă questionner ces troubles page 198 si possible avec des professionnels dĂ©diĂ©s mĂ©decin, Ă©quipes spĂ©cialisĂ©es Alzheimer Ă domicile, professionnels des accueils de jour, des centres mĂ©moire. ââSurtout ne traitez la personne comme un enfant, ne parlez pas dâelle comme si elle nâĂ©tait pas lĂ page 142 mais apprenez Ă ĂȘtre attentif aux petites perceptions qui demeurent jusquâau boutâ conseille lâauteur. La plasticitĂ© neuronale est Ă©tonnante raconter la vie, commenter des photos, se regarder, se toucher les mains tout simplement OxygĂ©ner son cerveau et booster sa rĂ©serve cognitiveCe qui est bon pour la mĂ©moire câest surtout de cultiver son jardin cultiver sa curiositĂ©, sa concentration, ses projets explique Dr Lefebvre des NoĂ«ttes page 67. Mieux vaut aussi continuer dâoxygĂ©ner son cerveau par une activitĂ© physique quotidienne, respecter son sommeil, booster son moral et son activitĂ© sexuelle, bien nourrir son cerveau avec des repas conviviaux, sociaux et un peu de vin rouge, du thĂ© vert et du cafĂ©, des vitamines B et E. Sâil faut traiter les maladies cardio-vasculaires qui risquent de rejaillir sur le cerveau, câest la lutte contre lâisolement qui fera le plus grand bien au sur les pensĂ©es poĂšmes des personnes maladesA lâinstar des peintures impressionnistes, qui peuvent ĂȘtre floues si on les regarde de trop prĂšs, les paroles, les attitudes des personnes malades demandent Ă ĂȘtre regarder dans leur ensemble. Dr Lefebvre des NoĂ«ttes cite les travaux de la poĂšte britannique Susanna Howard qui mise sur les ââpensĂ©es poĂšmesâ des personnes malades. Elle encourage les proches aidants ââprenez soin de vous, ne cherchez pas la perfection, ne fuyez pas, soyez prĂ©sentâ. LâidĂ©al serait que la sociĂ©tĂ©, les villes, les villages, les quartiers sâemparent de cet enjeu de sociĂ©tĂ© et deviennent ââDementia Friendlyâ, amies de ces maladies, des personnes malades, des proches aidants, en y rĂ©flĂ©chissant pour inventer des services, des aides, des soutiens porteurs de sens, conclut lâ faire face Ă Alzheimer ?Gagner des annĂ©e de vie meilleureDr VĂ©ronique Lefebvre des NoĂ«ttesEditions du Rocher307 pages â 19,90 euros
mangerjusquâau bout de la vie ? Ce nâest, dans de nombreux cas, ni possible ni souhaitable sans pour autant nuire Ă la personne malade. Refus ou incapacitĂ© Ă sâalimenter Pendant un certain temps, les difficultĂ©s Ă ingĂ©rer toute prise alimentaire solide ou liquide vont ĂȘtre gĂ©rĂ©es : prise en charge dâun trouble de la dĂ©glutition quâelle quâen soit lâorigine avec des
Aider Ă la vie tant quâil y a de la vie comme dans le magnifique ouvrage de Marie de Hennezel La mort intime » qui affiche en sous-titre ceux qui vont mourir nous apprennent Ă vivre. *****Akylena se nourrit de chaque instant qui passe. Elle souffre toute une nuit puis sourit au matin dâune aube qui submerge sa chambre et son corps frĂȘle. Je lui lis Eluard et ses yeux gris sâĂ©clairent de nuances du temps quâelle a si bien vĂ©cu et de bribes de jours qui peaufinent son Ćuvre. Tous ces vers de vie, de mort et puis dâamour qui lui parlent dâelle et caressent son Ăąme intacte dans sa chair diaphane. Il y a de la vie dans son visage pĂąle qui camoufle Ă peine la peur qui la tourmente. Il y a de la vie dans ses pupilles sombres qui se noient dans les miennes. Il y a de la vie dans cette main humide qui accroche toutes les mains quâon veut bien lui y a de la vie dans cette voix si faible qui murmure jâai mal et encore je tâaime. Il y a de la vie dans ce souffle infime qui sâengouffre et sâexpire de sa gorge mourante donne le temps de saisir lâessentiel, le message de sa vie quâelle offre Ă la terre. Elle endure son sursis et offre jusquâau bout dâauthentiques mercis et des mots de soleil. Un tout petit vent tiĂšde la rattache apaisĂ©e Ă la mort qui sâapprĂȘte. Et elle mâaide Ă lâaider lorsque quâau bout de ses forces. Elle effleure ma main de ses longs doigts exsangues et je lui lis Ă©mue cette poĂ©sie que ses mains posent leur paumeSur chaque tĂȘte qui s'Ă©veillePour que les lignes de ses mainsSe continuent dans d'autres mainsElle est partie, bercĂ©e des mots de son Akylena, celle qui trouvait si bien les teintes de nos ĂȘtres.
Lorsde lâĂ©vĂšnement de la Nuit du Grand Age et du Bien Vieillir qui sâest tenu 20 mai dernier au Casino de Paris, un Film documentaire Ă caractĂšre scientifique «Et au boutla VIE!» a Ă©tĂ© nominĂ© dans la catĂ©gorie âSantĂ© et avancĂ©e en Ageâ. Pour la premiĂšre fois est abordĂ© dans un film, le thĂšme de lâart-thĂ©rapie (profession paramĂ©dicale) et de ses bienfaits dans la
Ce sera la seconde structure de ce type en France, destinĂ©e Ă recevoir les malades, mais aussi les aidants. Elle pourrait voir le jour dans quatre Ă cinq ans. On le sait depuis peu câest dans le parc qui hĂ©bergeait les militaires, au bout de lâavenue Sarrail, quâelle sera implantĂ©e. Article rĂ©servĂ© aux abonnĂ©s Article rĂ©servĂ© aux abonnĂ©s Pour lire la suite de cet article Abonnez-vous Ă partir de 1,59âŹ/semaine. Sans engagement de durĂ©e. En profiter Vous ĂȘtes dĂ©jĂ abonnĂ© ou inscrit ? Connectez-vous
Laccueil en maison de repos doit se faire dans la mesure du possible, de maniĂšre anticipĂ©e et rĂ©flĂ©chie. Le passage en institution ne doit pas ĂȘtre vu comme une imposition mais bien comme un choix raisonnĂ©. «Le mieux câest dâinscrire la personne sur une liste dâattente. Mais lorsquâon tĂ©lĂ©phone pour prĂ©venir que la personne