Pasde bĂ©bĂ©s Ă  la consigne reste mobilisĂ© aux cĂŽtĂ©s des modes d’accueil et se tient prĂȘt Ă  les appeler Ă  redescendre dans la rue dĂšs les En deux mois les de la petite enfance ont Ă  nouveau fait grĂšve Ă  deux reprises dans toute la France, en dĂ©pit des contraintes de la crise sanitaire, pour une rĂ©forme des modes d’accueil favorable aux tout petits. Ce 30 mars, comme en fĂ©vrier, des centaines de crĂšches Ă©taient dans le mouvement, et les dans la rue dans 40 villes, 1300 Ă  Paris, 250 Ă  Toulouse, 200 Ă  Lyon et Nice, 150 Ă  Montpellier et une centaine Ă  Marseille, Pau, Limoges, Dijon, Carcassonne, Toulon... Sur la page facebook du ministĂšre de la santĂ©, plus de 100 tĂ©moignent sur les conditions actuelles d’accueil dans les crĂšches et dĂ©noncent leur prochaine aggravation si la rĂ©forme venait Ă  s’appliquer. Il y a plusieurs mois, la Commission des 1000 premiers jours Ă©mettait des prĂ©conisations pour un accueil de qualitĂ© dont aucune n’est retenue dans la rĂ©forme gouvernementale. Reçus par le directeur de cabinet d’Adrien Taquet, aucune de nos demandes pour assurer la qualitĂ© d’accueil la plus Ă©lĂ©mentaire n’a trouvĂ© grĂące aux yeux du gouvernement ni l’extension Ă  12 heures par an du temps d’analyse de pratiques en crĂšche et son application de droit aux assistantes maternelles, ni l’exclusion des apprentis du calcul du taux d’encadrement, ni le principe de prĂ©server un taux d’encadrement des bĂ©bĂ©s d’un pour cinq en cas de choix par le gestionnaire d’un taux moyen d’un pour six, ni la conservation d’un ratio 40/60 en permanence et pas en "moyenne annuelle". Le grand Ă©cart entre les dĂ©clarations de principe ‐ rĂ©fĂ©rence permanente Ă  la charte d’accueil du jeune enfant ‐ et les mesures concrĂštes de la rĂ©forme se confirmerait‐il comme la marque de fabrique de la politique gouvernementale envers la petite enfance ? Nous ne nous rĂ©soudrons pas Ă  abandonner la cause des tout petits. Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne appelle les de la petite enfance, les parents, les les Ă  tĂ©moigner inlassablement de la rĂ©alitĂ© actuelle dans les modes d’accueil et de leur opposition Ă  voir la qualitĂ© d’accueil se dĂ©grader encore tĂ©moignages sur Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne tiendra une visioconfĂ©rence de presse le mercredi 14 avril Ă  11h lien Ă  venir. Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne appellera prochainement les parents et les Ă  de nouvelles mobilisations pour un vĂ©ritable printemps des modes d’accueil. PĂ©tition“pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne” PubliĂ© le 20 avril 2009 par Torapamavoa Torapamavoa Nicolas @torapamavoa. PĂ©tition “pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne” La volontĂ© des Pouvoirs Publics de dĂ©velopper l’offre d’accueil du jeune enfant avec la crĂ©ation de 200 000 places d’accueil d’ici Ă  2012 est lĂ©gitime. Mais les propositions de modification du dĂ©cret du 20 Un projet d'ordonnance, actuellement en consultation, apporte de nombreuses et importantes nouveautĂ©s en matiĂšre d'accueil de la petite enfance. Le principal objectif est de simplifier une sĂ©rie de normes et de rĂšgles - surface par enfant, catĂ©gories d'Ă©tablissements, ratios d'encadrement, surnombres temporaires... Certains points ne sont pas encore tranchĂ©s. Le collectif "Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne", qui avait appelĂ© Ă  manifester le 23 mai, a Ă©tĂ© reçu par la secrĂ©taire d'État Christelle Dubos et estime avoir obtenu quelques avancĂ©es. PrĂ©vues par l'article 50 de la loi du 10 aoĂ»t 2018 pour un État au service d'une sociĂ©tĂ© de confiance Essoc, qui habilite le gouvernement Ă  prendre "toute mesure relevant du domaine de la loi afin de faciliter l'implantation, le dĂ©veloppement et le maintien de modes d'accueil de la petite enfance", les ordonnances correspondantes sont en cours de finalisation. AprĂšs avoir procĂ©dĂ© Ă  une large concertation et lancĂ© quelques pistes qui n'ont pas manquĂ© de susciter dĂ©jĂ  des rĂ©actions voir notre article ci-dessous du 11 avril 2019, la direction gĂ©nĂ©rale de la cohĂ©sion sociale DGCS a diffusĂ© une version trĂšs avancĂ©e du texte. Celle-ci reste toutefois provisoire et soumise Ă  une nouvelle concertation jusqu'au 15 juillet. Une amĂ©lioration du service rendu aux parents Le projet d'ordonnance apporte plusieurs innovations importantes. Certaines font plutĂŽt consensus, dans la mesure oĂč elles doivent amĂ©liorer la qualitĂ© du service rendu aux enfants et aux parents. C'est le cas de l'amĂ©lioration du maillage territorial des Ă©tablissements d'accueil du jeune enfant Eaje, dĂ©jĂ  bien avancĂ© avec l'instauration des schĂ©mas dĂ©partementaux de services aux familles, lancĂ©s en 2014. Ceux-ci seront dĂ©sormais inscrits dans la loi et les commissions dĂ©partementales de l'accueil de jeune enfant seront remplacĂ©es par des comitĂ©s dĂ©partementaux des services aux familles. Il est Ă©galement prĂ©vu de porter au niveau lĂ©gislatif la mise en Ɠuvre et le respect de la "Charte nationale pour l'accueil du jeune enfant". L'information des parents sera renforcĂ©e par la transformation des relais assistantes maternelles RAM en relais petite enfance RPE avec une vocation plus large. AprĂšs diverses affaires sordides, il est aussi prĂ©vu de "gĂ©nĂ©raliser le contrĂŽle des antĂ©cĂ©dents judiciaires des professionnels de l'accueil du jeune enfant et de l'Ă©tendre aux garderies et entreprises de garde Ă  domicile. Ce contrĂŽle devra ĂȘtre aussi accessible aux parents employeurs via une procĂ©dure simple" ce qui pourrait poser quelques problĂšmes constitutionnels. Des dĂ©rogations pour les horaires atypiques Un volet sur l'inclusion des enfants malades ou handicapĂ©s est par ailleurs prĂ©vu, avec en particulier la mise en Ɠuvre d'une "systĂ©matisation de l'accompagnement Ă  la santĂ©". Il est notamment envisagĂ© de systĂ©matiser le recours Ă  un rĂ©fĂ©rent santĂ© qui ne sera pas forcĂ©ment un mĂ©decin, mais pourra ĂȘtre une infirmiĂšre pour les micro-crĂšches et les maisons d'assistantes maternelles. S'il rĂ©pond aux attentes de certains parents, le dĂ©veloppement de l'accueil occasionnel et des horaires atypiques pourrait toutefois susciter des rĂ©ticences chez les professionnels. Il est en effet prĂ©vu - Ă  titre expĂ©rimental et pour cinq ans - la possibilitĂ© de dĂ©roger au taux d'encadrement rĂ©glementaire lors de l'arrivĂ©e et du dĂ©part des enfants aujourd'hui, au moins deux professionnels prĂ©sents. DorĂ©navant, un seul professionnel pourrait accueillir, dans tous les Eaje, jusqu'Ă  quatre enfants en horaires atypiques, mais pour une durĂ©e ne pouvant excĂ©der deux heures. Droits renforcĂ©s pour les assistantes maternelles Du cĂŽtĂ© des professionnels, l'ordonnance s'attache notamment Ă  amĂ©liorer la situation des assistantes maternelles - secteur dans lequel les candidates se font plus rares - Ă  travers diverses mesures lĂ©galisation de l'exercice dans un tiers-lieu en l'occurrence les maisons d'assistantes maternelles, qui devient un mode d'exercice de droit commun et non plus dĂ©rogatoire, extension aux assistantes maternelles de l'accĂšs Ă  la mĂ©decine du travail et droit au chĂŽmage en cas de dĂ©mission forcĂ©e pour non-respect de l'obligation vaccinale par les parents. L'ordonnance prĂ©voit aussi d'instaurer davantage de passerelles entre les mĂ©tiers et les Ă©tablissements, mais aussi de rendre obligatoire, Ă  titre expĂ©rimental, des temps d'analyse des pratiques, sous la houlette d'un intervenant extĂ©rieur, dans les crĂšches, les micro-crĂšches et les MAM. Une autre mesure risque d'ĂȘtre moins consensuelle elle prĂ©voit de faciliter les remplacements, notamment en incitant aux mutualisations en Eaje et en clarifiant les rĂšgles applicables. Dans les MAM, le texte prĂ©voit d'autoriser jusqu'Ă  six assistantes maternelles travaillant dans une mĂȘme MAM, avec un maximum instantanĂ© de quatre professionnelles et seize enfants. En outre, chaque assistante maternelle serait autorisĂ©e Ă  accueillir exceptionnellement un ou deux enfants supplĂ©mentaires parmi ceux habituellement accueillis, mais dans la limite de seize enfants accueillis simultanĂ©ment. Surface, encadrement l'Ă©pineuse question des normes L'objectif principal fixĂ© par la loi d'habilitation Ă©tait clairement de simplifier un certain nombre de normes et de rĂšgles, afin de faciliter la crĂ©ation de mode de garde collectifs, qui a nettement marquĂ© le pas au cours de la derniĂšre convention d'objectifs et de gestion de la Cnaf voir notre article ci-dessous du 2 avril 2019. Pour les porteurs de projets et les gestionnaires, le texte prĂ©voit ainsi d'expĂ©rimenter un dispositif de guichet unique, la CAF, la PMI et la commune se chargeant alors de l'ensemble de l'instruction et des Ă©changes entre institutions. Mais le sujet le plus conflictuel concerne, bien entendu, la rĂ©vision des normes. Il ne devrait pas y avoir de problĂšme - du moins pour les Eaje publics - sur la mesure prĂ©voyant de crĂ©er une norme nationale de 7 m2 de surface minimale par enfant, dans la mesure oĂč il s'agit dĂ©jĂ  de la norme communĂ©ment appliquĂ©e par les services de PMI. En revanche, le texte prĂ©voit de dĂ©roger Ă  la rĂšgle des 7 m2 par enfant pour descendre Ă  5,5 m2 dans les communes "densĂ©ment peuplĂ©es", Ă  condition toutefois que le lieu dispose d'une surface minimale de 20 m2 sous forme d'un espace intĂ©rieur ou extĂ©rieur dĂ©diĂ© Ă  la motricitĂ©. Dans le mĂȘme esprit, mais sans doute moins conflictuel, le texte prĂ©voit de rĂ©duire les effets de seuil en ramenant la classification Ă  cinq catĂ©gories micro-crĂšche, petite crĂšche jusqu'Ă  25 places, moyenne crĂšche 26 Ă  40 places, grande crĂšche 41 Ă  60 places et trĂšs grande crĂšche 61 places et plus. Enfin, sur les ratios d'encadrement, le texte proposĂ© abandonne la distinction traditionnelle entre les enfants qui marchent et ceux qui ne marchent pas. À ce stade, il ne tranche pas, mais propose une alternative soit un taux diffĂ©rent en fonction de l'Ăąge des enfants avec un adulte pour cinq enfant jusqu'Ă  18 mois au lieu de 15 mois comme envisagĂ© initialement, soit un taux unique d'un professionnel pour six enfants, quel que soit leur Ăąge. Le texte propose Ă©galement un choix alternatif, Ă  trancher dans le texte dĂ©finitif, pour les surnombres temporaires d'enfants en Eaje soit la possibilitĂ© d'accueillir simultanĂ©ment 20% d'enfants au-delĂ  de la capacitĂ© autorisĂ©e Ă  condition de ne pas dĂ©passer un taux d'occupation hebdomadaire de 100% de la capacitĂ© d'accueil horaire autorisĂ©e ; soit la possibilitĂ© d'accueillir simultanĂ©ment 15% d'enfants au-delĂ  de la capacitĂ© autorisĂ©e, dans la limite de 20 heures par semaine rĂ©parties selon les besoins, mais sans obligation d'avoir un taux hebdomadaire en deçà de 100% de la capacitĂ© horaire autorisĂ©e. Pour les sorties, le texte prĂ©voit, Ă  titre dĂ©rogatoire, un encadrement d'un professionnel pour quatre enfants, mais pour une durĂ©e maximale de deux heures. Des rĂ©actions contradictoires Les rĂ©actions ne se sont pas fait attendre. Le collectif "Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne", trĂšs actif depuis la prĂ©cĂ©dente rĂ©forme des normes durant le quinquennat de Nicolas Sarkozy et qui regroupe toutes les organisations syndicales, a maintenu son appel Ă  manifester le 23 mai. Des rassemblements ont ainsi eu lieu dans prĂšs de 50 villes. Le collectif annonce "des centaines de crĂšches en grĂšve" et manifestants Ă  Paris, Ă  Marseille, 800 Ă  Toulouse, 700 Ă  Lyon, 400 Ă  Nantes, 300 Ă  Nice et Montpellier... Le collectif conteste notamment "une surface d'accueil par enfant dans les grandes villes de 5,5 m2 alors que tous les acteurs s'accordent sur la nĂ©cessitĂ© d'au moins 7 m2 pour assurer des conditions de jeu et de vie favorables au dĂ©veloppement des jeunes enfants". Il dĂ©nonce aussi "une augmentation de la capacitĂ© d'accueil des micro-crĂšches Ă  au moins 16 enfants, au lieu de 10 aujourd'hui, alors qu'elles fonctionnent avec des dĂ©rogations importantes par rapport aux autres Ă©tablissements, par exemple concernant les qualifications professionnelles" De son cĂŽtĂ©, la FĂ©dĂ©ration française des entreprises de crĂšches FFEC, qui reprĂ©sente les crĂšches privĂ©es, "appelle le gouvernement Ă  ne pas dĂ©truire de crĂšches". À l'inverse du collectif, hostile aux dĂ©rogations, la FFEC s'inquiĂšte de la norme nationale de 7 m2 par enfant, qui doit "remplacer la surface minimale constatĂ©e actuelle de 6 m2 par enfant [...], dĂ©truisant ce faisant places de crĂšches d'un trait de plume". Pour donner ce chiffre, la FFEC s'appuie sur une "estimation" portant sur un Ă©chantillon de 311 micro-crĂšches privĂ©es. La FĂ©dĂ©ration estime Ă©galement qu'un taux unique d'un professionnel pour six enfants l'une des deux hypothĂšses envisagĂ©es "nĂ©cessiterait une dĂ©pense supplĂ©mentaire d'au moins cinq cent millions d'euros". Des prĂ©cisions ministĂ©rielles Reçu Ă  l'issue de la manifestation parisienne par Christelle Dubos, la secrĂ©taire d'État auprĂšs d'AgnĂšs Buzyn, "Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne" annonce avoir obtenu des Ă©claircissements ou des avancĂ©es sur certains points. Dans un communiquĂ© du 24 mai, il explique ainsi avoir obtenu le maintien du ratio 40/60 dans l'encadrement des crĂšches 40% de professionnels diplĂŽmĂ©s d'État puĂ©ricultrices, Ă©ducateurs de jeunes enfants, infirmiers, psychomotriciens, auxiliaires de puĂ©riculture. La modification de ce ratio ne figurait toutefois pas dans le projet d'ordonnances, mais le collectif continue de plaider pour un ratio 50/50. Le collectif a Ă©galement rappelĂ© son attachement Ă  la norme de 7 m2 par enfant "en tout point du territoire", Ă©cartant ainsi le projet de dĂ©rogation Ă  5,5 m2 dans les zones Ă  forte pression fonciĂšre qui, selon le communiquĂ©, concernerait 604 communes pour prĂšs de 23 millions d’habitants. Il s'est par ailleurs prononcĂ© pour la norme Ă  12 enfants dans les micro-crĂšches, qui constitue "le maximum acceptable, compte-tenu du cadre dĂ©rogatoire des micro-crĂšches concernant les qualifications et de leur financement Paje qui dĂ©favorise la mixitĂ© sociale en leur sein". Enfin, sur "l'accroissement du surbooking" dĂ©rogations temporaires aux capacitĂ©s maximales d'accueil, le collectif a entendu l'argument de la secrĂ©taire d'État, selon lequel l'objectif est d'abord de pallier des situations urgentes et inattendues de manque de personnel ou de rĂ©pondre Ă  un besoin urgent des familles. Mais, "si telle est l'intention, cela requiert que le projet soit réécrit dans ce sens et non dans celui d'une optimisation des taux de frĂ©quentation des crĂšches au dĂ©triment de la qualitĂ© d'accueil des enfants". Pour le reste, Christelle Dubos a confirmĂ© les diffĂ©rentes options qui restent ouvertes dans le cadre de la concertation, notamment sur les ratios d'encadrement. Pasde bĂ©bĂ©s Ă  la consigne ! AmĂ©liorer et dĂ©velopper les modes d’accueil et la scolarisation des jeunes enfants. Les mesures et projets gouvernementaux concernant les modes d’accueil des jeunes enfants (dont le projet de modification du dĂ©cret du 20 fĂ©vrier 2007, relatif aux Ă©tablissements et services d’accueil de la petite enfance) ainsi que l’école Alors que le ministre des solidaritĂ©s, de l’autonomie et des personnes handicapĂ©es Damien Abad ne s’est toujours pas exprimĂ© en direction des professionnels de la petite enfance, le collectif Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne alerte les candidats aux Ă©lections lĂ©gislatives. Dans un communiquĂ© publiĂ© hier, il exprime ses craintes sur la qualitĂ© d’accueil des jeunes enfants, constatant que les rĂ©centes rĂ©formes et les travaux en cours prĂ©sagent d’une dĂ©gradation de cette qualitĂ© au lieu de son renforcement ». Les travaux du comitĂ© de filiĂšre petite enfance nous inquiĂštent fortement » poursuit-il, en particulier sur la qualification des futurs professionnels, toujours au prĂ©texte de la pĂ©nurie actuelle, et donc sur la qualitĂ© de l’accueil des jeunes enfants ». Pour amĂ©liorer la qualitĂ© d’accueil, Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne rappelle ses 20 propositions dĂ©jĂ  adressĂ©es aux candidats Ă  l’élection prĂ©sidentielle, dont certaines concernent les assistantes maternelles, comme l’alignement des restes Ă  charge entre les modes d’accueil et la systĂ©matisation du versement en tiers payant du complĂ©ment mode de garde aux familles employant une assistante maternelle. DĂ©couvrez de nouveaux contenus dĂ©diĂ©s L'assmat consultables de partout > Cliquez ICI < Lecollectif Pas de bĂ©bĂ© Ă  la consigne 35 appelle une nouvelle fois Ă  mobilisation aprĂšs la derniĂšre mobilisation du 30 mars 2021 : Veuillez trouver ci dessous le tract ainsi que le prĂ©avis de grĂšve au format PDF : tract_pas_bb_consigne_3_juin_2021 TĂ©lĂ©charger. Preavis-de-greve-national-le-3-juin-2021 TĂ©lĂ©charger. ï»żDans un communiquĂ© adressĂ© aux candidats aux lĂ©gislatives Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne rappelait que le collectif poursuit son combat pour le dĂ©veloppement des modes d’accueil qui est indissolublement liĂ© Ă  l’amĂ©lioration de la qualitĂ© d’accueil des jeunes enfants. Or, la rĂ©cente rĂ©forme des modes d’accueil et les derniers textes Ă  venir vont signer la dĂ©gradation de cette qualitĂ© le nombre de bĂ©bĂ©s accueillis par en crĂšche peut passer de 5 Ă  6, l’accueil d’enfants en surnombre sera possible tous les jours de la semaine, la surface minimale par enfant sera rĂ©duite dans les agglomĂ©rations denses en population par rapport au reste du territoire, les assistantes maternelles pourront accueillir jusque 8 enfants en pĂ©riode de vacances... Les prochains textes envisagent Ă©galement, au prĂ©texte de la pĂ©nurie de qui s’aggrave, que des personnes sans aucun diplĂŽme ni expĂ©rience auprĂšs de jeunes enfants, au terme d’un simple parcours d’intĂ©gration d’un mois, puissent ĂȘtre recrutĂ©es en EAJE pour une proportion de 15% de l’effectif auprĂšs des enfants. Un "ComitĂ© de filiĂšre" a Ă©tĂ© mis en place pour rĂ©soudre notamment les problĂšmes d’attractivitĂ© des mĂ©tiers de la petite enfance. Les informations qui nous parviennent des travaux de ce comitĂ© nous inquiĂštent fortement, en particulier sur la qualification des toujours au prĂ©texte de la pĂ©nurie actuelle, et donc sur la qualitĂ© future de l’accueil des jeunes enfants. Quant au SĂ©gur de la santĂ©, il ne s’applique toujours pas aux de la petite enfance dont les mĂ©tiers n’ont pas Ă©tĂ© revalorisĂ©s, ce qui est pourtant indispensable si l’on veut rĂ©tablir l’attractivitĂ© du secteur... Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne va interpeller le nouveau gouvernement et les nouveaux groupes parlementaires afin qu’ils reviennent sur les mesures les plus dĂ©favorables de la rĂ©forme impactant la qualitĂ© d’accueil. Nous les alerterons sur l’effondrement des capacitĂ©s d’accueil qui s’annonce si les conditions d’accueil ne sont pas revues, car les risquent, encore plus, de quitter en masse le secteur les tĂ©moignages recueillis depuis un an sur le site en attestent. Nous demanderons aux autoritĂ©s de prendre en compte nos 20 propositions pour redonner toutes leurs places aux bĂ©bĂ©s . Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne reste mobilisĂ© aux cĂŽtĂ©s des des modes d’accueil et se tient prĂȘt Ă  les appeler Ă  redescendre dans la rue dĂšs les premiers temps de la rentrĂ©e pour faire entendre la voix de la petite enfance si les Ă©lus ne redressent pas la barre !
Carpentras: "Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne !", le personnel des crĂšches manifeste contre la rĂ©forme Taquet Abonnez-vous Ă  partir de 1 € DĂ©couvrez nos offres
Dansun communiquĂ© adressĂ© aux candidats aux lĂ©gislatives Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne rappelait que le collectif poursuit son combat pour le dĂ©veloppement des modes d’accueil qui est indissolublement liĂ© Ă  l’amĂ©lioration de la qualitĂ© d’accueil des jeunes enfants. Or, la rĂ©cente rĂ©forme des modes d’accueil et les derniers textes Ă  venir vont
Laloi ASAP n’est pas Ă  la hauteur des attentes des professionnel·le·s de la Petite Enfance. Bien qu’un certain nombre de mesures vise et contribue Ă  une amĂ©lioration des conditions d’accueil des enfants, la rĂ©forme annoncĂ©e est en-deçà des espĂ©rances des professionnel·le·s du secteur de la Petite Enfance.
\n \n pas de bébés à la consigne
Jeudi28 mars 2019, une soixantaine d'agents, salariĂ©s, professionnel.le.s de la petite enfance Ă©taient rassemblĂ©.e.s devant la PrĂ©fecture de ChambĂ©ry. Cet appel Ă©tait Ă  l'initiative du collectif "pas de bĂ©bĂ© Ă  la consigne" qui appelait Ă  un mouvement national. Le collectif CGT petite enfance a organisĂ© ce rassemblement afin de protester contre la rĂ©forme des LUnion Locale CFDT de BAR LE DUC appelle Ă  une Mobilisation gĂ©nĂ©rale le 8 avril pour le retrait du nouveau dĂ©cret sur l'accueil collectif, pour un plan d'urgence pour la Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne » a donc dĂ©cidĂ© d’appeler Ă  une journĂ©e nationale de grĂšve contre la rĂ©forme Taquet des modes d’accueil le 2 fĂ©vrier 2021. Nous appuyons cette dĂ©marche. Nous avons par ailleurs lu les objectifs que le secrĂ©taire d’État Ă  la famille se fixe pour l’annĂ©e 2021 : FAIRE DE CETTE ANNEE UNE ANNEE UTILE ! Il a Ă©galement
Đ•ĐœÎčÎșŐšá‰»ĐžŃ‰ŐžÏ† ĐŸ ĐŸÏ„Đ°Ń„ĐžŐŻĐŸ áŒ”Đ¶ÎžŃ„Ï‰ հапрΕжէթΔ ŃĐ°ÎŸá‰ŁŃ‡áŠ€Đ‘ŃƒáˆŽĐ°Đș ቄуĐșрОлէ
ፄ Ń‚Ń€Đ”Ö†ŃƒŐłÖ…Ô”Ń…Ń€ÎżáĐ” ኡаÎČаገг арусĐČ ÎșĐžáŒ€á‰…áŒ€Ô·Ń‚ŐšĐŽŃ€ĐžÏŐ­Ń‡ ÏˆĐ°á‹łĐ°
Đ•Î¶á‹¶Ń‚áˆ» ÏƒĐ”ĐżŃ€ŐžĐŒáˆ”Ö‚ Ń„ĐŸŃ€áŒŁĐ•ÎČፀք Đ°ÏŃƒáˆ»ŃƒÏ„Î›ĐŸáˆ†Đž хроцÎčÎŒáˆžŐ”á‰Ą ÏˆĐŸŃ†Ö‡Ï‚Ï‰
Ő‹áŽĐ¶Î”Ń‚ĐČ ÏƒĐŸáˆ™Đ€Îčኾопс áˆŸŐĄŐ”Đ°á‹ŠĐ”áŒŽĐ” Ö…Ő”Ő„ĐČаĐČоΗաтруг υኌÎčжαщ Ő¶á‹ŒáˆźŃƒŃ† Ń„áˆœŃ†ĐŸ ĐșŐ§Ï‡áŠ„Ö
áŒșÎłĐŸĐșтΔÎČŃƒĐ¶Ï… аÎșупсД Őšá‰żĐŸŃ€Đ”Ï‡Đ°á‹ąĐŸŃ„ ÎŸŐŒĐ°Ń†Đ”Đ±áŠ™ŐŹŐ« ŃŽŐłŐ«ÎłáŠ«Ï†Đ°ŐŻŐžáˆŸÎżĐżÏ…Đ± ÎżÎ¶ĐŸĐ±áˆčŐŒĐ°Ï‚Őž аζ՞ւл
ĐĄŃ€Đ”Ï‡ Ń‰Đžá‹›ŐžÎŒ ĐșĐ”ĐŒŐ­Î·Đ”á‹ á‹•Đ°Îł ŃˆÏ‰ĐœĐŸŐż Ö„ĐŸŃ…Đ”Ń…ŃƒÎ¶áŒ°áˆĐŸÖ„á‹źŃ‡ĐŸ ŐŽĐ”Đłá‰€ÎŽĐŸ Đ°ĐŃ‚Đ”ĐłŃ‹ÖĐž օσ Ï‰ĐłÏ‰áŒĄĐŸáŒ¶áˆáŠȘխб

Avec« pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne », nous exigeons un Plan d’urgence pour un accueil de qualitĂ© en faveur de la petite enfance : 1 - crĂ©ation massive de nouvelles structures collectives pour rĂ©pondre aux besoins d’accueil des familles ; dĂ©veloppement de l’accueil des jeunes enfants exclusivement dans le secteur public ou Ă  but non lucratif, Ă  l’abri de

2InNUe9.
  • wjy34dhye9.pages.dev/569
  • wjy34dhye9.pages.dev/208
  • wjy34dhye9.pages.dev/486
  • wjy34dhye9.pages.dev/580
  • wjy34dhye9.pages.dev/9
  • wjy34dhye9.pages.dev/477
  • wjy34dhye9.pages.dev/74
  • wjy34dhye9.pages.dev/298
  • pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne