RemarquĂ© au Festival international des Programmes audiovisuels Fipa Ă Biarritz fin janvier, ce documentaire inĂ©dit retrace la saga exceptionnelle des Ayachi, une famille franco-syrienne, dont le fils puis le pĂšre ont choisi de faire le djihad en Syrie. Le film, refusĂ© par M6, est diffusĂ© ce mardi sur France 2. Son rĂ©alisateur raconte un tournage hors du commun qui a durĂ© trois ans et illustre la complexitĂ© de la situation de cette famille dĂ©chirĂ©e entre tentative dâintĂ©gration et islam radical. TĂ©lĂ©Obs. â Comment avez-vous rencontrĂ© les Ayachi, cette famille franco-syrienne installĂ©e en Belgique ?La suite aprĂšs la publicitĂ© StĂ©phane Malterre. Tout a commencĂ© en 2012 quand je suis entrĂ© en relation avec Abderahmane Ayachi, le fils. Il gĂ©rait depuis la Syrie le site dâun groupe de combattants islamistes membres de lâArmĂ©e syrienne libre qui se battait contre lâarmĂ©e de Bachar al-Assad. Je lâai suivi en 2013 sur le terrain et jâĂ©tais lĂ lorsquâil a Ă©tĂ© tuĂ© par un tir de mortier. A mon retour, jâai voulu rencontrer sa famille Ă Bruxelles. LĂ , le pĂšre, Bassam, mâa annoncĂ© quâil se sentait obligĂ© dâaller Ă son tour faire le djihad en Syrie. Il y avait une histoire formidable Ă raconter. Elle mâa conduit Ă aller de nouveau tourner en Syrie, en 2014 et Ă lâĂ©tĂ© 2015. Qui est ce Bassam Ayachi ? Un chef djihadiste ? â Il est dâabord lâhĂ©ritier dâune famille syrienne de notables sunnites, opposĂ©e Ă la dynastie des Assad, qui sâest exilĂ©e dâabord en France dans les annĂ©es 1960, Ă Aix-en-Provence, puis en Belgique. Partisan dâun islam de plus en plus radical, il est entrĂ© dans les radars de lâantiterrorisme belge aprĂšs le 11-Septembre pour ses liens avec le kamikaze dâAl-Qaida qui avait assassinĂ© le commandant Massoud. Mais, en rĂ©alitĂ©, il nâa jamais portĂ© le costume de recruteur djihadiste, ce dont la justice belge lâa soupçonnĂ© un temps. Il serait plutĂŽt un islamiste nationaliste motivĂ© par sa lutte contre le rĂ©gime alaouite des Assad. Son fils Abderahmane, qui est parti le premier faire la guerre en Syrie, avait un profil plus inquiĂ©tant et avait dâailleurs Ă©tĂ© condamnĂ© comme recruteur de djihadistes pour lâIrak, avant le dĂ©but du conflit syrien. Il est mort les armes Ă la main en Syrie, Ă la tĂȘte dâune brigade de rebelles islamistes. Cela dit, ni le pĂšre ni le fils nâont Ă©tĂ© des terroristes. Ils nâont jamais Ă©tĂ© dans les rangs dâAl-Qaida ni affiliĂ©s Ă Daech. © Cat et CompagnieLa suite aprĂšs la publicitĂ© En quoi la trajectoire de cette famille est-elle singuliĂšre ? â Leur histoire est dâabord celle dâune relation filiale oĂč le fils fait le djihad pour suivre lâenseignement de son pĂšre. Mais, en filigrane, elle raconte aussi la montĂ©e de lâislam radical en Europe. Le pĂšre, Ă©tudiant, sâinstalle en France dans les annĂ©es 1960, et se marie avec une Niçoise, qui se convertit Ă lâislam. Puis il ouvre un restaurant et commence Ă convertir son entourage français. Mais, peu Ă peu, sa pratique de la religion devient plus fondamentaliste, et quand il se fixe en Belgique dans les annĂ©es 1990, il commence Ă prĂŽner le djihad Ă la faveur des conflits en Bosnie et en TchĂ©tchĂ©nie. Pour lui, le djihad est un combat pour instaurer un Etat islamique en terre musulmane. Il condamne en revanche le terrorisme aveugle en Europe. Bref, cette famille qui oscille entre intĂ©gration et retour aux origines suit une trajectoire beaucoup plus subtile que celle des islamistes radicaux classiques. Que fait lâimam Bassam Ayachi aujourdâhui ? â Il est installĂ© comme juge de paix dans la rĂ©gion dâIdlib et tient Ă Ă©gale distance les partisans dâAl-Qaida et ceux de Daech. Il nâagit pas comme un chef militaire mais tient le rĂŽle du sage, respectĂ© par la population. Ce qui ne lâempĂȘche pas dâavoir Ă©chappĂ© de justesse Ă un attentat Ă la voiture piĂ©gĂ©e perpĂ©trĂ© par Daech dans lequel il a perdu un bras. AprĂšs avoir retrouvĂ© et enterrĂ© la dĂ©pouille de son fils, il nâa pas perdu espoir de vivre lâinstauration dâun rĂ©gime islamiste modĂ©rĂ© sur la terre de ses suite aprĂšs la publicitĂ© Propos recueillis par Olivier Toscer Mardi 18 octobre Ă 23h15 sur France 2. Documentaire de StĂ©phane Malterre 2016. 1h35. Disponible en replay sur Pluzz.
Dansl'Ă©pisode "Tomorrow Is Ours", qui sera diffusĂ© Ă partir du 8 aoĂ»t 2022, Samuel disparaĂźt pendant l'interrogatoire de Benjamin. RĂ©sumĂ© prĂ©liminaire et spoilers. RĂ©sumĂ©. [Mis Ă jour le 5 aoĂ»t 19h20] 8 aoĂ»t ADN Dans l'Ă©pisode, les enquĂȘteurs ont raison de croire que Benjamin peut avoir une dent contre Victoire.
21/10/16 18/10/16 Infrarouge â France 2 â 18/10/16 Ce documentaire raconte lâitinĂ©raire dâune famille franco-syrienne, les Ayachi. Bassam, le pĂšre, sâest installĂ© en France Ă la fin des annĂ©es 60. Cet homme Ă©rudit a Ă©pousĂ© une Française, bientĂŽt convertie, avec laquelle ils Ă©lĂšveront leurs enfants dans la religion. Quand la rĂ©volution Ă©clate en Syrie, le fils aĂźnĂ© Abdelrahman, et, plus tard, son pĂšre Bassam partent sur la terre de leurs ancĂȘtres faire le djihad contre Bachar el-Assad et Daech. En Syrie et en Belgique oĂč vivent les autres membres de la famille, le rĂ©alisateur StĂ©phane Malterre filme durant trois ans le destin controversĂ© des Ayachi, marquĂ© par des Ă©vĂ©nements tragiques.
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Documentaries The Father, the Son and the Holy Jihad StĂ©phane Malterre FRA 2015 120min V'16 The Ayachis are a French Muslim family whose patriarch, Bassam, and son, Abderahman, have been radicalized by world events and propelled by a sense of ancestral religious duty to return to defend their syrian homeland. Over three years, filmmaker StĂ©phane Malterre captured their dramatic lives in Syria, fighting against Daesh also known as Is and Bashar al-Assadâs regime. Family members who remain in France weigh in on their loved onesâ situation and sacrifice, telling an incredible story of integration, fundamentalism and the gap between Western and Eastern cultures. Angie Driscoll In the presence of StĂ©phane Malterre. Credits Cast Bassam Ayachi Abderahman Ayachi Screenplay StĂ©phane Malterre Production CAT & Cie, France Televisions Format DCP col
Tasfinau nom du djihad contre les chrĂ©tiens du Nord dĂ©bouche, en 1086, sur la grande victoire de ZallĂąqa (Sagrajas en espagnol) dans la rĂ©gion de Badajoz et rĂ©vĂšle les capacitĂ©s fĂ©dĂ©ratives du mouvement rĂ©formateur orthodoxe almoravide. Les historiens actuels reconnaissent que la rĂ©action idĂ©ologique du pouvoir musulman Ă l'expansion occidentale est trĂšs prĂ©coce en Les photosdu film Au nom du pĂšre, du fils et du djihad Donnez votre avissur le film Au nom du pĂšre, du fils et du djihad Public AnnĂ©e de production 2016 DurĂ©e 2h00 Synopsis Des annĂ©es 70 jusquâĂ nos jours, lâhistoire des Ayachi, famille française musulmane, dont le fils, Abdel Rahmane, puis le pĂšre, Bassam, partirent faire le jihad dans leur terre natale, constitue une incroyable saga familiale. De la Syrie Ă la France en passant par Bruxelles et les prisons italiennes, leur itinĂ©raire atypique dĂ©voile un destin tragique et controversĂ©, ainsi que la complexitĂ© de la problĂ©matique du jihad. Il n'y a pas suffisamment de cotes 0 Photos du film Au nom du pĂšre, du fils et du djihad Avis des internautesdu film Au nom du pĂšre, du fils et du djihad Vous devez ĂȘtre connectĂ© pour ajouter une critique Connectez vous CrĂ©ez un compte Soyez le premier Ă publier une critique Lecas de parents voulant appeler leur fils Jihad va devoir ĂȘtre tranchĂ© par la justice. C'est en effet le prĂ©nom que ce couple originaire de LĂ©guevin (Haute-Garonne) a choisi pour leur fils nĂ© le 2 aoĂ»t dernier Ă Toulouse. Mais ce choix suscite des interrogations en raison l'utilisation du terme par les terroristes islamistes.Documentaire sociĂ©tĂ© de 1h35min de 2016Ce documentaire raconte l'itinĂ©raire d'une famille franco-syrienne, les Ayachi, dont plusieurs membres sont partis combattre Daech et Bachar Au nom du pĂšre, du fils et du djihadSynopsisCe documentaire raconte l'itinĂ©raire d'une famille franco-syrienne, les Ayachi. Bassam, le pĂšre, s'est installĂ© en France Ă la fin des annĂ©es 60. Cet homme Ă©rudit a Ă©pousĂ© une Française, bientĂŽt convertie, avec laquelle ils Ă©lĂšveront leurs enfants dans la religion. Quand la rĂ©volution Ă©clate en Syrie, le fils aĂźnĂ© Abdelrahman, et, plus tard, son pĂšre Bassam partent sur la terre de leurs ancĂȘtres faire le djihad contre Bachar el-Assad et Daech. En Syrie et en Belgique oĂč vivent les autres membres de la famille, le rĂ©alisateur StĂ©phane Malterre filme durant trois ans le destin controversĂ© des Ayachi, marquĂ© par des Ă©vĂ©nements tragiques.
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Aunom du pÚre, du fils et du djihad: Directed by Stéphane Malterre.
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3La majuscule. La majuscule remplit deux grandes fonctions : 1° elle signale le dĂ©but dâune phrase; 2° elle met en valeur le caractĂšre unique, singulier ou supĂ©rieur de certaines rĂ©alitĂ©s physiques ou abstraites exprimĂ©es par le nom propre. Pour le nom propre, il nây a pas de rĂšgles absolues concernant lâemploi des majuscules.Cest lâappel du pape François, dans sa Lettre au peuple de Dieu du 20 aoĂ»t 2018, qui a suscitĂ© le prĂ©sent ouvrage : « Il est impossible dâimaginer une conversion de lâagir ecclĂ©sial sans la participation active de toutes les composantes du peuple de Dieu. »Que nousLa guerre en Syrie et le djihad de pĂšre en fils. Une Ă©popĂ©e familiale hors du commun. RĂ©sumĂ© Ce film, rĂ©alisĂ© en 2016, au plus fort du conflit en Syrie, raconte le destin tragique et controversĂ© d'une famille française d'origine syrienne, les Ayachi. Au nom d'un devoir ancestral et religieux, le fils, puis le pĂšre, retournent sur leur terre natale faire la rĂ©volution sous la banniĂšre d'Allah. Pendant 3 ans, le rĂ©alisateur a filmĂ© leur histoire, ses rebondissements et a recueilli les tĂ©moignages uniques d'une famille dont l'itinĂ©raire - des annĂ©es 1970 jusqu'Ă nos jours - Ă©voque l'intĂ©gration, l'intĂ©grisme et les lignes de fracture entre Orient et Occident. EAw5d.